Conseils pratiques pour l'alimentation

1          L’alimentation

 

1.1                   Nos conseils

 

¨       Je pense à tout ce que je trouve gracieusement dans la nature (champignon, pissenlit, plante sauvage, tilleul, coquillage, algue, etc.)

 

¨        Je récupère chez des particuliers les surplus de leurs récoltes qu’ils ne consomment pas. J’en profite pour faire des conserves avec.

 

¨       Je prends le temps de m’informer auprès des producteurs locaux qui, pour certains, pratiquent une agriculture proche des critères de la bio sans en avoir nécessairement le label.

 

¨       J’apprends à décrypter les étiquettes (pourcentages des différents ingrédients, additifs chimiques : colorants, exhausteurs de goût, conservateurs, émulsifiants, etc.)

 

quoi acheter ?

 

¨       J’achète le plus possible des produits locaux.

 

¨       J’achète des fruits et légumes de saison.

 

¨       J’achète bio et, si possible, du bio local, de préférence avec les labels les plus exigeants tels que Nature et Progrès ou Déméter.

 

¨       Je réduis ma consommation de viande et remplace les protéines animales par les protéines présentes dans : œufs, fruits oléagineux, céréales complètes, légumineuses – par ailleurs riches en vitamines et minéraux et moins caloriques. De plus, ces sources de protéines sont considérablement moins chères à apport protéinique équivalent.

 

¨       Je privilégie l’achat de viande issues de petits élevages fermiers, bio de préférence (pas de concentration d’animaux, souci du bien-être animal).

 

¨       Je n’achète pas une viande sans la garantie que les animaux aient reçu une alimentation sans OGM (voir le « Guide des produits avec ou sans OGM » sur le site www.greenpeace.fr). De plus, je ne perds pas de vue que les AOC (Appellation d’origine contrôlée) ne garantissent pas l’absence d’OGM dans la nourriture animale.

 

¨       J’achète des œufs bio (code « 0 ») ou élevés en plein air (code « 1 ») et je proscris les codes « 2 » et « 3 » correspondant à de l’élevage intensif en batterie.

 

¨       Quand je mange du poisson, je privilégie les variétés issues des côtes les plus proches de mon domicile et je consulte la liste des espèces non menacées (sur le site www.wwf.fr, notamment ou www.greenpeace.fr – « Guide de l’ecoconsommateur »).

 

¨       J’évite le poisson d’élevage car :

  • il subit de nombreux traitements antibiotiques ;
  • il faut savoir que 6 kilos de poissons sauvages sont nécessaires pour produire un kilo de poisson d’élevage.

 

¨       Je privilégie les produits ne contenant pas d’huile de palme car celle-ci :

  • contribue à la déforestation ;
  • contient des acides gras saturés qui sont nuisibles à la santé.

 

¨       Quand j’achète des produits « exotiques », je privilégie ceux du commerce équitable.

 

¨       J’évite les plats préparés industriellement et je cuisine le plus possible moi-même à partir de produits de base sains et faciles à cuisiner. Je peux ainsi :

  • faire des économies (ex : une soupe maison revient 3 à 6 fois moins cher qu’une soupe en bocal ou en brique ; des carottes râpées maison 5 à 6 fois moins cher qu’en barquette ) ;
    • limiter ma consommation de sucre, sel ou matières grasses souvent en excès dans les plats préparés ;
    • me préserver des additifs et résidus de pesticides présents dans les plats préparés non bio et d’une éventuelle présence d’OGM ;
    • retrouver des saveurs authentiques ;
    • agrémenter les plats au gré de ma fantaisie ;
    • goûter au plaisir de faire moi-même et de cuisiner pour les autres, voire de cuisiner à plusieurs ;
    • générer moins de déchets.

 

¨       Je refuse d’acheter :

  • des aliments irradiés reconnaissables aux mentions « traité par ionisation » ou « traité par rayonnement ionisant ». Ce sont généralement : herbes aromatiques, épices, condiments, oignons, échalotes, légumes et fruits secs, farine de riz, volaille, cuisse de grenouille, crevettes. (En savoir plus sur www.irradiation-aliments.org)
  • des aliments contenant des OGM (voir le « Guide des produits avec et sans OGM » sur le site www.greenpeace.fr).

 

¨       Je préfère les pots, bocaux et bouteilles en verre aux contenants à base de bisphénol A : revêtement plastifié des boîtes de conserve et canettes, bouteilles d’eau et plats préparés pour micro-onde. J’évite absolument de les exposer à la chaleur car celle-ci favorise la migration du bisphénol dans l’aliment. Ces conseils sont d’autant plus pertinents pour une femme enceinte ou un jeune enfant.

 

¨       Je bois de l’eau du robinet (après avoir vérifié sa qualité en mairie) et je la filtre, si besoin est, pour :

  • faire 100 à 300 % d’économies par rapport aux eaux en bouteille : 2 litres/jour sur un an au robinet = 3 € contre 120 € (eau de source en bouteille) ou 340 € (eau minérale en bouteille) ;
  • réduire les pollutions dues aux transports ;
  • éviter la contamination due au bisphénol A présent dans les matériaux des bouteilles en plastique.

 

¨       Pour supprimer le chlore, le calcaire et/ou certains métaux lourds de l’eau du robinet :

  • j’utilise un procédé de filtrage (filtre sur carafe, sur robinet), chacun présentant des avantages et des inconvénients ;
  • pour seulement supprimer le goût de chlore, je laisse reposer une demi-heure au réfrigérateur dans une carafe (le froid limite le développement bactériologique).

 

où acheter ?

 

 

¨       De manière générale, j’évite la grande distribution pour ne pas :

  • perdre du temps et de l’argent dans de longs trajets en voiture ;
  • perdre du temps à déambuler dans les rayons (50 mn en moyenne) ;
  • être tenté(e) d’acheter au-delà ma liste de courses (surtout si je suis accompagné d’enfants qui sont attirés par les produits judicieusement placés à leur hauteur…) ;
  • payer plus cher un grand nombre de produits en dehors de quelques produits d’appel.

 

¨       J’évite la grande distribution, même pour les produits bio parce qu’elle :

  • importe massivement des produits bio issus de cultures intensives lointaines, pour certains cultivés dans des conditions sociales déplorables (cas de l’Andalousie et de l’huile de palme de Colombie, par exemple) ;
  • pratique des prix beaucoup plus élevés – en dehors de quelques produits d’appel – que dans des coopératives, AMAP, marchés et certains magasins spécialisés ;
  • propose une gamme moins diversifiée de produits ;
  • ne propose pas de produits sous les labels Nature et Progrès ou Déméter qui, à niveau de prix équivalents, ont des exigences de qualités sociale et environnementale bien supérieures ;
  • n’offre pas de garanties de traçabilité sur la plupart des produits de marque de distributeur (MDD).

 

¨       J’achète le plus possible auprès de producteurs locaux[1] (marchés, vente à la ferme, cueillettes, AMAP, groupements de vente directe) pour :

  • soutenir l’agriculture locale ;
  • réduire les pollutions dues aux transports ;
  • éviter les OGM et les aliments irradiés (technique de conservation pour des produits de provenance lointaine) ;
    • établir une relation de proximité avec les producteurs ;
    • avoir des garanties de traçabilité ;
    • avoir un choix de variétés plus important.

 

¨       Je privilégie mes achats bio en :

  • magasins Biocoop : grand nombre de références, produits en vrac (sucre, céréales, pâtes, gâteaux, fruits secs), partenariats durables et « équitables » avec les fournisseurs locaux ou dans le cadre du commerce équitable Nord/Sud, livres, informations et animations.
  • boutiques de proximité indépendantes (soutien au commerce local, convivialité, conseils personnalisés, réactivité, ce qui n’exclut pas le choix).

 

¨       J’achète dans les boutiques du commerce équitable les produits tels que : céréales, légumineuses, sucre, thé, café, chocolat, fruits secs, jus de fruit et confitures à base de fruits exotiques, épices, gâteaux. Dans de nombreuses boutiques on trouve aussi des produits locaux (commerce équitable Nord/Nord) : conserves, miel, confitures et jus de fruits à base de fruits locaux

 

¨       Même s’il n’existe sans doute pas de cueillettes bio, je me rends sur des lieux de cueillette car ils proposent quantités de produits frais et de saison (fruits, légumes, fleurs). Outre le plaisir partagé entre petits et grands, cela permet aux petits urbains d’appréhender la façon dont poussent les légumes et les fruits qu’ils mangent.

 

¨       Je me rapproche d’un réseau de vente directe s’il en existe dans ma région ou je prends l’initiative d’en créer un.

 

¨       Je pense également à acheter auprès d’associations engagées dans la défense de l’environnement et des droits humains proposant des produits alimentaires vendus en ligne ou sur catalogue. Voir sous la rubrique « Notre choix d’adresses ».

 

comment réduire mon impact environnemental ?

 

¨       Je prends un panier ou un cabas pour faire mes courses et je pense à proposer aux commerçants des sachets réutilisables en plastique ou en papier, voire des barquettes, que j’emmène avec moi.

 

¨       J’achète le plus possible en vrac et à la coupe afin d’éviter les déchets générés par les barquettes de fruits, légumes, viandes ou autres entourées d’un film plastique, etc.

 

¨       Je privilégie les grands contenants.

 

¨       Je choisis les aliments conditionnés le plus simplement et évite ceux qui sont suremballés (double emballages, portions individuelles, sachets pré-dosés, mini-doses) pour :

  • faire des économies (ex : thé en sachet = 60 à 120 € le kilo contre 30 à 50 en vrac ; café en capsules : 20 à 40 € le kilo contre 6 à 12 moulu) ;
  • réduire mes déchets.

 

¨       Je préfère les emballages en verre, en métal ou en carton qui se recyclent bien.

 

¨       J’évite les emballages surdimensionnés. Je les laisse en magasin dans le but de responsabiliser les distributeurs sur les volumes de déchets (actions annuelles du CNIID).

 

¨       J’évite la vente à emporter qui génère de nombreux déchets.

 

¨       Je réutilise les emballages (sacs en plastique ou en papier, bouteilles et pots en verre, bocaux, boîtes en carton, etc.) chaque fois que c’est possible.

 

¨       J’évite l’achat d’eau en bouteille pour réduire la pollution due aux transports et je lui préfère l'eau du robinet à condition qu’elle soit potable et de qualité (sinon j’installe un filtre).

 

¨       J’achète la quantité de nourriture dont j’ai réellement besoin (en France, 25 % de la nourriture achetée n’est pas consommée et finit à la poubelle).

 

¨       J’évite les produits à base d’huile de palme pour ne pas encourager la déforestation et le transport lointain.

 

¨       Je n’épluche pas mes légumes et fruits bio pour :

  • ne pas augmenter ma quantité de déchets si je ne fais pas de compost ;
  •  profiter des vitamines et nutriments plus particulièrement présents dans la peau.

 

¨       Je fais moi-même mon compost à partir de mes épluchures de fruits et légumes, coquilles d’œufs, soit :

  • dans mon jardin avec un composteur ;
  • dans mon appartement avec un lombri-composteur (efficace et sans odeur) ;
  • au pied de mon immeuble si un système de compostage collectif a été mis en place.

 

¨       J’appose un autocollant « Stop pub » sur ma boîte aux lettres pour ne pas être inondé de dépliants publicitaires.

 

¨       J’effectue une estimation gratuite des émissions de gaz à effet de serre de mon foyer en matière d’alimentation, et j’élabore un plan d'action pour les réduire sur le site : www.coachcarbone.org.

 

1.2                   Pour agir en citoyen

 

se mobiliser contre les ogm, pesticides,

 

Inf’OGM est une association de veille citoyenne et d’information sur les OGM et les biotechnologies :

www.infogm.org/

 

http://stop-ogm.org/

 

Devenir détective OGM pour Greepeace :

www.detectivesogm.org

 

Mouvement pour le droit et le respect des générations futures rebaptisé récemment « Générations Futures » :

www.mdrgf.org

 

L’ARTAC (Association pour la recherche thérapeutique anti-cancéreuse) créée par le cancérologue Dominique Belpomme, est une association de lutte contre le cancer faisant des recherches sur les causes environnementales de cette maladie :

www.artac.info  01

 

Kit d’information de la campagne « Le juste fruit » sur les plantations de bananes et d’ananas

Édité par Peuples Solidaires, commander par tél. au 02 99 30 60 53 ou par mail à : ecrire@peuples-solidaires.org

 

créer une AMAP

 

www.reseau-amap.org

 

développer le bio en restauration collective

 

L’association Unplusbio aide à l’introduction progressive d’une alimentation bio et de qualité en restauration collective. Publications, dossiers, sur :

www.unplusbio.org/

 

La bio en restauration collective

Livret publié par l’association Bio Consom’Acteurs et disponible en PDF sur le site :

www.bioconsomacteurs.org

 

Guide de la restauration collective responsable

Téléchargeable sur le site :

www.unplusbio.org/

 

créer un groupement d’achats directs

 

Bien qu’il n’existe pas à ce jour d’annuaire national répertoriant les groupes d’achat direct, il est possible de consulter sur les sites suivants des informations relatives à la constitution d’un groupe.

 

Site nouvellement créé par des adhérents d’Action consommation :

www.circuits-courts.fr

 

Réseau d’associations étudiantes mettant à disposition sur son site des outils pour promouvoir une vision alternative et engagée de l’écologie. Il coordonne l’organisation d’un festival annuel (thème 2011 : circuits courts et courts circuits.

www.reseaugrappe.org

 

développer une réflexion autour de l’alimentation

 

Pour s’informer et – pourquoi pas – rejoindre le mouvement locavore dont la devise est : Penser global, manger local.

http://jesuislocavore.com/

 

Pour participer à une réflexion sur la convivialité, l’éducation au goût et la recherche d’une alimentation de qualité :

www.slowfood.fr

 

encourager le développement d’exploitations bio

 

La foncière de l’association Terre de liens collecte de l’épargne auprès de citoyens pour acquérir du foncier agricole et le mettre à disposition d’agriculteurs bio qui n’auraient pas les moyens de s’installer à leur compte.

www.terredeliens.org     ' 09 70 20 31 09

 

1.3                   Notre choix d’adresses

 

rejoindre une amap, un jardin de cocagne

 

Pour vérifier s’il existe une AMAP près de chez vous :

www.reseau-amap.org

 

Pour connaître le Jardin de Cocagne le plus proche de chez vous :

www.reseaucocagne.asso.fr/     ' 01 43 26 37 84

 

trouver un producteur bio près de chez soi

 

Annuaire officiel des professionnels notifiés en agriculture biologique (Fnab).

http://annuaire.agencebio.org/

 

Liste des fermes bio-dynamiques Demeter sur le site :

www.bio-dynamie.org/

 

Liste des adhérents professionnels de Nature et Progrès sur le site :

www.natureetprogres.org

 

faire une cueillette près de chez soi

 

www.chapeaudepaille.fr     ' 

 

acheter en boutique bio et/ou « équitable »

 

La coopérative Andines commercialise des produits alimentaires « équitables » Nord/Sud et Nord/Nord, bio le plus souvent. Vente sur place ou par correspondance pour particuliers et associations. Prix de gros pour les associations :

www.andines.com     ' 01 48 20 48 60

 

Liste de boutiques de commerce équitable membres de Minga pour l’activité « alimentation » sur :

www.minga.net     ' 48 09 92 53

 

Liste des boutiques Artisans du monde sur :

www.artisansdumonde.fr     ' 01 56 03 93 50

 

Liste des boutiques du réseau Biocoop sur :

www.biocoop.fr     ' 

 

Liste de boutiques bio indépendantes sur :

www.annuairebioeco.fr     ' 

 

acheter auprès d’associations et d’ong

 

Ruedelanature est une boutique en ligne de produits validés par la FRAPNA dont la vente participe au financement de cette association :

: www.ruedelanature.fr

 

Boutique en ligne d’Amnesty International :

www.boutique.amnesty.fr

 

Boutique en ligne de Survival International :

http://boutique.survivalfrance.org/shopping

 

restauration, café, traiteur

 

Structures adhérentes à Minga pour l’activité « restauration/café/traiteur» :

L’équitable café : : http://equitablecafe.org     ' 04 91 48 06 62

La case à palabres : : www.lacaseapalabres.fr    ' 04 90 56 43 21

La coulée douce : : www.lacouleedouce.fr     ' 09 54 97 81 63

 

en savoir plus sur les labels

 

Sur les labels de l’alimentation en général :

http://www.eco-sapiens.com/infos-les-labels.php

 

organismes proposant des stages

 

L’association Savoir Faire et Découverte propose des stages pratiques de courte durée et des séjours sur les thèmes suivants : cuisine, fabrication (pain, miel, bière, cidre, charcuterie, tisanes, etc.), savoir-faire en jardinage, arboriculture, apiculture, dans différents lieux :

www.lesavoirfaire.fr

 

1.4                   Notre choix de livres pratiques

 

pour éviter de consommer ogm et additifs alimentaires

 

Additifs alimentaires DANGER : Le guide indispensable pour ne plus vous empoisonner

Corinne Gouget, éd. Chariot d’Or

 

Guide des produits avec ou sans OGM

Téléchargeable sur le site de Greenpeace :

http://guide-ogm.greenpeace.fr/     ' 

 

Non aux oranges carrées ! Guide pratique pour changer sa façon de faire ses courses

Stefan Guilbaud, Guy Trédaniel éditeur

 

pour manger des fruits et légumes de saison

 

Liste des fruits et légumes de saison mois par mois sur le site d’Action Consommation :

: www.actionconsommation.org/

 

pour cuisiner

 

La nouvelle cuisine familiale

Brigitte Fichaux, éd. GabriAndre

 

Une autre assiette

Claude Aubert, Le Courrier du Livre

 

Petits plats d’hiver

Catherine Schiellein, La Plage

 

Manger sain pour trois fois rien avec 150 recettes bio

Claude et Emmanuelle Aubert, terre vivante

 

Créez vos boissons santé

Sylvie Hampikian, terre vivante

 

Les bonnes adresses du vin bio 2009-2010

Jean-Marc Carité, Utovie

 

pour des alternatives à la viande

 

Faut-il être végétarien ? Pour la santé et la planète

Claude Aubert et Nicolas Le Berre, éd. terre vivante

 

Fabuleuses légumineuses

Claude Aubert, éd. terre vivante

 

www.vegetarisme.fr

Association végétarienne de France

 

pour une consommation responsable de poissons

 

www.greenpeace.fr

Télécharger le dossier : « Pêche, conduites dangereuses »

 

pour des alternatives à l’eau en bouteille

 

La maison écologique n°38, mai 2007,

Dossier « En quête d’eau pure ».

Tél. : 02.31.66.96.49, Fax. : 02.31.66.98.47

 

L’eau à la maison : mode d’emploi écologique

Sandrine Cabrit-Leclerc, éd. terre vivante

 

pour manger bio en restaurant et « traiteur »

 

Guide des restaurants bios et/ou végétariens de France, éd. La Plage

 



[1] Nombre d’entre eux pratiquent une agriculture proche des critères de la bio même s’ils n’en ont pas le label.

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